Mobile first. Si derrière cette expression on peut au premier abord comprendre l’usage : « optimisé prioritairement pour un écran de smartphone », en allant un peu plus loin on comprend le contexte : « optimisé pour un utilisateur qui se déplace ». Si la voiture reste bien souvent incontournable, city-breakers, slow tourism et mobilités alternatives bouleversent les codes, et les données de transport méritent d’être intégrées aux sites de destinations au même titre que les données touristiques.
C’est un incontournable : la carte de situation sur les « fiches objet ». Et dans le prolongement de cette carte, on va retrouver le cross-selling sur carte, permettant de découvrir des offres complémentaires à proximité.
Pour aller plus loin, la carte peut également être accompagnée d’un texte de présentation du quartier ou du territoire de l’offre.
Et enfin, un lien « comment s’y rendre » dans lequel sont passés Latitude et Longitude vers une application Plans, Maps ou autre. Ce lien « Comment s’y rendre », c’est un point de sortie. Un point de sortie vers Google Maps par exemple qui sera capable de récupérer l’utilisateur, de lui suggérer des offres, de lui proposer des itinéraires. Un point de sortie vers un potentiel concurrent.
Intégrons la donnée de transport
Fort de notre proximité avec la startup MyBus (www.mybus.io), nous avons développé des outils de calcul d’itinéraires permettant à l’usager de consulter les différentes modalités d’accès à un point.
Intégrés aux objets touristiques (ou à toute information localisée), ceux-ci permettent de comparer les itinéraires en voiture, en transport en commun, en vélo, à pied, tout en ayant accès à des informations pratiques comme les bornes de recharge électriques ou les aires de covoiturage.
Pensons aux utilisateurs « sur place »
L’intégration des données de transport et le calcul d’itinéraire sont des outils pratiques essentiels, que l’on retrouve dans nos solutions dédiées à la consommation de la destination une fois sur place : L’internet de séjour et Bonjour Nestor.